En feuilletant les blogs ce matin, je suis tombé sur ce
billet qui résume le débat d’hier soir. Globalement, nous avons Martine
Aubry et Ségolène Royal qui critiquent le projet de François Hollande à propos
de l’Education Nationale et la recréation de 60 000 postes.
Le motif évoqué est le coût de cette mesure.
C’est à mourir de rire si on pense que le principal reproche
fait à François Hollande est d’être le candidat de la rigueur, celui qui veut
réduire le déficit rapidement à 3% et tout ça.
Je remercie ses rivales de lui avoir accordé son brevet de
gauchisme tout en continuant à se mettre à dos un des piliers de l’électorat du
Parti Socialiste : les salariés de l’Education Nationale.
Vive la communication politique.
L'important c'est la tulipe, l'important...
RépondreSupprimerC'est plus la cirrhose ?
RépondreSupprimer- En admettant qu'il soit élu (ce qui est probable)
RépondreSupprimer- en admettant qu'il essaie de tenir cette promesse (ce qui est possible)
Où les trouvera-t-il, ses 60 000 enseignants ?
Cette année, plus de mille postes, prévus et financés pourtant par le gouvernement Sarkozy, n'ont pas été pourvus, à cause du niveau trop faible des candidats aux concours (CAPES).
Qui va-t-on balancer devant les élèves ?
Dans les bistros ?
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