Dix clients au comptoir, le patron et la serveuse derrière.
Une cliente habituée (de mon blog aussi) : "un ami est mort, il se fait incinérer mardi".
Moi (qui n'avait pas entendu le mot ami) : "par cette chaleur !".
Tout le comptoir explose de rire. Le patron est obligé de se retirer dans la cuisine pour ne pas rire devant sa cliente en deuil.
Avec Tonnégrande, on change de bistro.
Vous ferez remarquer à cette personne, cher maitre 50 (Pierre DAC) que l'on ne dit pas incinérer, le verbe idoine est "crématiser"
RépondreSupprimerPas très grave.
SupprimerOn s'en fout! Crematiser? Non, rigoler!
RépondreSupprimerEt, j'ai ri. :-)
Tu as raison !
SupprimerJe reviens sur cette histoire de crématiser. Je me demande si ce n'est pas un affreux néologisme, que Didier Goux n'hésiterait pas à qualifier de modernoeud.
RépondreSupprimerJe lui envoie un mail pour qu'il nous dise ce qu'il en pense au cas où il ne voit pas ce billet.
Le verbe est (encore pour l'instant) un néologisme. Si l'on veut être très snob et très passéiste, on emploiera crémer, verbe attesté depuis le XIIe siècle et qui vient du cremare latin. Le problème est que la même racine a aussi donné cramer…
RépondreSupprimerLe mieux est encore de se faire enterrer, comme tout bon chrétien fier de ses racines et de sa haute civilisation devrait le faire.
Merci pour votre intervention.
SupprimerCela dit, pourquoi "le mieux" ? Je n'ai pas grand chose à cirer de ce qui m'arrivera quand je serais crevé. Qu'ils me donnent à manger aux cochons si ça peut rendre service (sauf s'ils sont déjà trop gras ou Musulmans ne buvant pas d'alcool).
Et hop ! un billet…
SupprimerJ'y vais. Après l'apéro.
SupprimerUn apéro à trois heures de l'après-midi ?!?!
SupprimerUn gros noir m'a poussé à boire mais il est saoul comme un cochon. Il a oublié qu'il y a moins d'alcool (après avoir mis l'eau) dans Ricard que dans un verre de rouge. Je lui fais le coup deux à trois par mois.
SupprimerC'est chaud !
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