Allons bon ! Voilà Berlin qui étudierait
des réformes que devrait étudier la France pour sauver son économie. Rappelons
à Madame Merkel qu’il elle n’a pas été élue chancelière de la France. « La semaine passée, un responsable placé au cœur de
la machine gouvernementale à Berlin avait dressé pour le Figaro
l'inventaire des recettes des économistes allemands, pour créer un choc de
compétitivité en France: «baisser le coût du travail», «abolir les 35 heures»,
«augmenter la flexibilité», «mettre fin aux avantages des fonctionnaires trop
privilégiés par rapport aux emplois précaires», «réduire le poids de l'État
dans l'économie», «lever les barrières à la concurrence», «baisse des impôts»,
«réforme du système social, notamment les retraites». »
Ca sera tout, oui ?
Madame Merkel sait-elle que son propre pays va droit dans le
mur avec une natalité dérisoire ? Se rend-elle compte que c’est à elle de
faire évoluer sa propre gestion ? C’est l’Allemagne avec une politique
délirante qui met tous les autres pays européens dans la merde.
L’Allemagne et ses
20% de travailleurs pauvres… Le pourcentage de travailleurs gagnant moins
des deux tiers du salaire médian est passé de 15,0 % à 22,2 % de 1995 à 2006.
L’Allemagne, ce pays où les
pauvres meurent de plus en plus jeune.
L’Allemagne, ce pays qui doit 300 milliards d’euros à la Grèce…
Fouilloux Not'Nico est passé au FDG !!!
RépondreSupprimerPas encore.
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