« Arrêtez de faire boire mon mari ! Arrêtez de faire boire mon mari ! » Voila ce que criait la petite dame en entrant à l’Amandine, vendredi matin, d’après Michel, le patron. Elle semblait vouloir tout casser. Heureusement qu’il y avait quelques armoires à glace au comptoir.
C’est ce que Michel nous a raconté, vendredi soir. Michel a avoué s’être mis en colère également, la petite dame perturbant ses clients.
Alors il lui a demandé qui est son mari. « Americo » a-t-elle répondu phonétiquement. Il n’y a pas d’Americo dans la clientèle. Il n’y a même pas d’ivrogne inconnu, à part Pierre, le Colonel et Luigi mais ils n’ont pas d’épouse.
La dame est sortie. Le loufiat lui a couru derrière pour en savoir plus mais elle n’a rien voulu répondre.
Nous ignorons si elle a fait tous les bistros de la commune ainsi, j’ai oublié de demander à la Comète et à l’Aéro.
Le comportement des épouses m’a toujours amuse : c’est toujours de la faute des autres, notamment des patrons de bistro, si leurs maris picolent.
N.B. : Le type de la photo s’appelle Américo, aussi. Il me parait suffisamment photogénique pour faire plaisir à mes lectrices.
J'ai vérifié cet état de fait.
RépondreSupprimerDepuis, tu es célibataire.
RépondreSupprimerElle n'est pas venue chez nous, mais ça fait encore un bout de chemin, depuis le Kremlin-B., et puis, on ne connaît pas d'Americo non plus,
RépondreSupprimertrès beau design, mais je suis perdue dans tes blogs. qu'est ce que je dois mettre dans mon reader ?
RépondreSupprimerLe Coucou,
RépondreSupprimerMerci !
Olympe,
Ne change rien, en principe !