Les justiciers de la blogosphère

Ce que j’aime bien, avec les blogs, c’est la capacité qu’on à éprouver de la sympathie pour des inconnus, croisés dans les commentaires d’un blog qu’on a oublié. Cette sympathie finit par se transformer en amitié alors qu’on ne s’est jamais vus dans la vraie vie. Je ne sais plus comment j’ai rencontré Vallenain. Peut-être s’est-il tout simplement abonné à mon compte twitter et je l’ai suivi ? Christophe Borhen, par contre, je crois me rappeler. On s’est rencontrés chez Didier Goux puis il a commencé à venir commenter PMA, au moins un billet par jour et de fil en aiguille, j’ai commencé à visiter son blog, commentant beaucoup moins (ça lui apprendra à avoir une plate-forme ne permettant pas l’abonnement aux commentaires par mail). Christophe a mon âge (à quelques mois près) et il est presque trop vieux pour être le père de Vallenain.

Si j’ai mis un lien, vers le blog de Christophe, c’est pour permettre à www.wikio.fr de refaire ses index : ne cliquez pas. Regardez l’illustration à gauche. Son blog a été censuré, probablement directement par le taulier de sa plateforme. Une des raisons de cette censure est probablement un billet sur Nicolas Sarkozy que je vous avais incité à aller lire. Christophe explique cela dans son dernier billet, le premier vrai billet de son nouveau blog. Allez lire.

Fermer un blog sans le consentement de l'auteur et sans sauvegarder les écrits, c'est un peu comme bruler un livre, non ?

Ainsi, Vallenain est un jeune blogueur Lyonnais avec qui nous déconnons dans nos blogs respectifs. Ce qui ne l’empêche pas d’être parfois sérieux et de faire des billets politiques. Il a un handicap, il est de droite, le pauvre alors qu’à gauche on rigole beaucoup plus. Toujours est-il qu’on s’est pris une salve, sous Twitter, hier soir, par un gauchiste en robe de chambre. Voir l’illustration à droite. Alors je vais rappeler, à ce gugusse, que la droite est majoritaire, en France. Elle le reste peut-être parce que certains gauchistes servent de repoussoir et font perdre toute crédibilité aux camarades.

Certaines tentatives d’intimidation méritent des baffes.