Je ne sais pas si le Gouvernement utilisera cette information pour communiquer avec son électorat traditionnel.
"L'année 2010 aura bien marqué un record en matière de traitement social du chômage : l'an dernier, l'Etat a subventionné 533.761 contrats aidés (+12 % par rapport à 2009), contribuant ainsi à la limitation de la hausse du nombre de chômeurs à 80.000 (en catégorie A), cinq fois moins que l'année précédente."
Pour un peu, l'UMP va inventer les emplois-jeunes.
(Merci à Ménilmuche pour l'info, profitez en pour lire son billet à propos des statistiques de délinquances)
Ce qui est formidable avec les contrats aidés, ce que leurs conditions changement à peu près tous les 10 jours, mais au final, ce ne sont jamais que des contrats précaires qui ne mènent JAMAIS à des CDI, ne font qu'aider (ahah) temporairement des gens dans la panade et des patrons qui croulent sous les charges.
RépondreSupprimerJ'en ai fait les frais, c'est risible d'aberration (j'ai été formée, je correspond à une demande, celle de l'entreprise, et la mienne de continuer dans ce métier, tout y est, mais non, on prolonge pas, parce que les crédits sont coupés, faut virer l'employé formé et prêt à bosser pour prendre un chômeur, le former pendant 4 mois, l'embaucher pour 6 avant de le foutre à la porte et ainsi de suite.)
Zette,
RépondreSupprimerOui et non. S'ils sont bien ficelés, ça permet aussi de remettre les pieds à l'étrier. C'était le cas des emplois jeunes et nombre de gugusse ont eu un contrat, après, pas directement, mais "grâce"...
Manquerait plus qu'ils réinventent les 35 heures ces cons... ^__^
RépondreSupprimerCe sont des contrats à la con, au bout de deux ans tu te retrouves direct au chômage, mais d'un autre côté c'est jamais assez ces contrats aidés car sinon certaines personnes et notamment les femmes ne trouveraient pas de taf près de chez eux
RépondreSupprimerFalcon,
RépondreSupprimerJ'espère !
Dominique,
Oui et non, les contrats aidés sont une bonne manière de remettre les gens dans "la boucle" (mais les contrats aidés doivent être "publics", on n'est pas là pour faire gagner du pognon à des patrons...).