vendredi 10 octobre 2014

L'orthographe et l'informatique

Cher monsieur Apple, 

Avec votre nouvel iOS, vous nous avez fourni un truc de saisie prédictive par ailleurs très bien mais vous avez un gros bug avec les caractères qui ne sont pas utilisés par les rosbifs, notamment nos célèbres accents et autres cédilles. 

Cela fait que depuis la sortie de votre nouveau machin, on multiplie les fautes d'orthographe. C'est exaspérant. 

En temps qu'informaticien, je vais vous mettre sur une piste. Quand on écrit "ca" le machin met "ça" mais enregistre "ca" dans la liste des mots que vous utilisez. Si bien que quand on écrit à nouveau "ca", il écrit "ca" et pas "ça". 

A bon entendeur, bonjour à ta grosse. Ca fera 5000 euros pour la consultation. Merci. 

Il y a deux dommages collatéraux, outre le fait de multiplier les fautes. 
1. On s'habitue aux erreurs et on tolère les fautes d'accentuation ou de cédillage,
2. J'ai oublié le deuxième. 

Arrêtez d'ajouter automatiquement dans votre dictionnaire des mots qui ne sont pas français. 

Les gens de Microsoft pourraient en prendre de la graine et améliorer leur correcteur orthographique. Un mot qui est pas dans le dictionnaire doit rester en rouge. Tant pis pour les trous du cul sûrs d'eux. 

J'en profite pour signaler la faute que je vois souvent en tant qu'informaticien : le mot "en-tête" écrit "entête". Soulignez-moi ce mot en rouge quand ce n'est pas explicitement une conjugaison du verbe "entêter". 

A ce sujet, vous pouvez signaler à vos honorables lecteurs que si on a bien un "en-tête de page", on n'a pas un "en-queue de page" mais un "pied de page". 

La deuxième faute exaspérante dans mon job est de voir "scénario" écrit "scénarii" au pluriel par des glandus qui se croient cultivés. "Scénario" est entré dans la langue française. Le pluriel est donc "scénarios". Essayez de dire, à oral : des "scenarii". Vous passeriez pour un con encore plus qu'en écrivant "dire à l'oral". 

Ce qui nous amène aux locutions latines. Elle ne prennent pas d'accent. "A priori" ne s'écrit pas "à priori". D'ailleurs, on devrait le dire "en italique". 

Il reste le cas du mot "referendum" que je ne supporte pas avec des accents ou un "s" au pluriel. Mais je ne sais pas si je ne suis pas un peu maniaque. 

Cordialement,
Nocolas. 

41 commentaires:

  1. Bien vu, mais j'ai comme un doute avec les mots d'origine italienne.
    Par exemple, on dit bien un scénario, des scénarii. Un raviolo et des raviolis et un pipo, des pipis.
    Non ? Qu'en penses-tu ?

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    1. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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    2. Attend ! Je me lave les mains aux lavabii apres avoir fait un gros pipo.

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    3. C'est normal le Nocolas en signature? Et puis blanc ou noir le Nocolas?

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    4. Tiens ! C'est rigolo et illustre bien mon billet.

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    5. Si on voulait l'écrire à l'italienne, on écrirait scenario et scenarii (sans accent aigu sur le "e") .

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    6. Ben oui mais vous répondez n'importe où !

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  2. J'ai rigolu.
    Ce billet est un acte de santé publique, merci.

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  3. Si c'était moi qui avais rédigé ce billet (et j'aurais pu), on aurait hurlé au réactionnariat ! Mais comme c'est vous, Miss Élodie trouve ça très bien…

    Sinon, j'hésite toujours, pour référendum, mais je finis toujours par mettre les accents, ce me semble plus logique.

    D'un autre côté, comment voulez-vous contraindre un logiciel à s'exprimer en bon français, alors que les gens qui l'ont conçu et la grande majorité de ceux qui l'utilisent en sont désormais incapables ? (J'ai, encore hier soir, lors d'un "débat", entendu un clampin utiliser le mot expertise dans son sens anglais d'expérience…)

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    1. Pour expertise, ça m'avait gonflé, une fois. J'avais fait quelques recherches : il me semble que même Wikipedia se trompe...

      Pour le logiciel, c'est assez facile : il faut mettre des types qui connaissent le français à la conception. Les correcteurs orthographiques sont déjà très bons mais ils ont des failles, comme pour le mot "entête" qu'ils tolèrent comme nom commun.

      Le problème, c'est qu'ils ont une fonction d'apprentissage qu'il faudrait supprimer. Par exemple, on utilise, au bureau, qui s'appelle et s'écrit : Connections. Du coup, quand on en parle, il apparaît souligné de rouge dans les documents Word. Pour éviter cela, les gens les rajoutent dans les dictionnaires. Des fois, ils oublient la majuscule ou le s final. C'est en rouge : ils ne pensent pas qu'ils aient pu faire une faute et ajoute au dictionnaire.

      La conséquence est simple, depuis quelques mois, on voit de plus en plus le mot "connexion" (qu'on emploie beaucoup vu que notre job est de connecter des applications) écrit "connection" sans personne.ne remarque.

      L'autre difficulté dans notre boulot est qu'on utilise beaucoup de noms propres (par exemple, un compte rendu de réunion commencera par la liste des participants) et d'anglicismes. Nos pages se retrouvent partiellement couvertes de rouge et on ne fait plus attention.

      En fin, les erreurs sont virales. A force de voir le mot "en-tête" sans tiret (ou le "mot" "compte rendu" avec un tiret mais c'est moins grave), les gens l'utilisent ainsi.

      Un autre mot qu'on utilise beaucoup : "plate-forme". Il y a plus de dix ans, une collègue m'avait fait relire son CV. Elle avait écrit qu'elle était responsable de la "plateforme d'agrément". Ca m'avait choqué. 10 ans après, il faut que j'utilise un dictionnaire pour savoir s'il faut ou non un tiret. Du coup, les andouilles qui font les dictionnaires ont fini par écrire qu'en orthographe nouvelle, il ne faut pas de tiret.

      Dernier mot : "application". En informatique, on l'utilise souvent mais, progressivement, il remplace "programme informatique" ou "logiciel" alors que cela n'a rien à voir (ou presque). Je m'égare un peu mais à force de tolérer les erreurs, elles finissent par ne plus en être.

      Et Apple est tombé dans le bug : le correcteur corrige bien le mot mais prend le mot initial tapé par l'utilisateur comme un mot qu'il veut ajouter au dictionnaire. Si le gugusse refait la même erreur, elle n'est plus considérée comme telle.

      Pour en finir, réellement cette fois, on s'habite au correcteur orthographique et on lui fait confiance pour éviter les fautes de frappes. Avec un iPhone, c'est pire que tout : il ne souligne pas en rouge les erreurs mais les corrige automatiquement ce qui fait qu'on arrive à écrire des trucs qui n'ont aucun sens. A une époque, je pouvais faire un billet de blog sans faute avec l'iPhone parce qu'il n'avait pas de correcteur. Je m'appliquais donc. Puis je me suis relâché. Avec la dernière version (elle date d'un mois), ça devient une catastrophe.

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    2. « à force de tolérer les erreurs, elles finissent par ne plus en être »

      C'est le principe même de l'évolution des langues. Lorsqu'on lit des écrivains du début du XXe siècle, Proust ou Gide par exemple, on les voit se choquer de fautes ou d'impropriétés que l'on ne repère plus du tout à notre époque. Je songe en particulier aux réactions de Gide contre le verbe "réaliser" qui, en son époque, commençait d'être utilisé dans le sens de "se rendre compte" (ce qui était déjà un anglicisme) : il a eu beau faire, ce sens est effectivement passé dans le langage courant et devenu tout à fait correct.

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    3. On peut intégrer les erreurs lorsqu'elles apportent quelque chose, pas lorsqu'elles n'apportent rien, ou même lorsqu'elles créent une confusion : pourquoi utiliser " supporter" pour "soutenir" (une équipe de foot, un homme politique, etc.) , qu'est-ce que ça apporte, sinon de faire dire l'inverse de ce qu'on veut dire ( " je supporte le PSG " = " je n'aime pas le PSG, il me casse les couilles, mais je le tolère, pas moyen de faire autrement" ) ?

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    4. Je ne suis pas opposé à l'évolution de la langue qui dure depuis toujours sauf dans certains cas (voir ma réponse à DF). Et beaucoup de mots anglais entrés dans la langue française viennent eux-même du français... Tiens ! Je ne sais pas comment on dit "rendre compte" en anglais, mais "account" vient peut-être du mot "compte" (dans sa forme de l'époque).

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    5. Elie,

      On est d'accord. Malheureusement, on finit par être obligés de "supporter" certaines évolutions. Avec Didier, on a parlé plusieurs du mot "souci" employé à la place de "problème". C'est très fréquent, ces andouilles, au bureau, qui viennent me voir : "hé ! Nicolas, on a un souci avec les serveurs"... Une fois j'ai répondu "Pourquoi, ils t'empêchent de dormir ? Tu auras des soucis à te faire si tu ne corriges pas le problème".

      A une époque (maintenant aussi, je suppose), Didier était "obnubilé" par l'utilisation du mot "sur" comme dans "je retourne sur Paris". Ca fait que je reprends systématiquement les gens qui font l'erreur.

      Et l'utilisation du mot "soutenir" me gêne aussi, souvent. Par exemple, pendant la campagne de François Hollande, je disais que je le soutenais. Tu parles ! J'étais plus un "supporter"... Le mot "supporter" (du PSG) est un anglicisme qui, comme je le disais à Didier dans mon dernier commentaire, vient probablement du français. Et dans votre exemple, redevient un verbe. La boucle est bouclée.

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    6. A propos des anglicismes, il me semble me souvenir que la moitié des mots anglais sont issus de la langue française.

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    7. Élie Arié, il ne s'agit pas d'intégrer ou non les erreurs : elles le font (ou ne le font pas) très bien toutes seules ! Lutter contre les aberrations inutiles (supporter, souci, expertise, etc.) est un combat que je mène volontiers… tout en sachant que, la plupart du temps, il est vain. À partir du moment où tout le monde aura remplacé "problème" par "souci" (et on n'en est plus très loin), on ne pourra que s'incliner devant le fait accompli. Dans ce genre de cas, le seul "acte de résistance" encore possible – celui que j'adopte en général – est de ne plus employer le mot ou la tournure litigieuse. Ainsi, depuis qu'elle est utilisée à contre-sens, je n'emploie plus jamais la locution "sauf à + infinitif". Mais, pour le coup, cela relève vraiment de la posture individuelle.

      Pierrot13 : Plus que la moitié, je crois bien. Mais les mots les plus usuels proviennent essentiellement du "fonds" anglo-saxon.

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    8. Nicolas : je suis toujours "obnubilé" par sur ! L'avantage, dans ce cas, c'est que l'on est libre de continuer à employer les bonnes prépositions.

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    9. On peut facilement lutter contre "sur" et "souci". Il suffit de reprendre les gens systematiquement. Ils deviennent obnubilés par la faute qu'ils font. C'est ainsi que je suis devenu obnubilé à force de vous "lire" (bien que je ne faisais pas ces fautes). Ca a tres bien marché avec les deux personnes qui partagent mon bureau.

      Ils ont arrêté.

      Sauf dans les cas graves, ils perdent leur moyen. Une fois tous les serveurs étaient HS. Le chef de projet concerné m'a dit : on a un gros souci avec les serveurs, ils sont tous hors service. Je lui ai répondu : on ne dit pas un souci. Il m'a dit : attends, ce n'est pas le moment de plaisanter, c'est grave, là. Je lui ai rétorqué : du calme, c'est notre boulot, on va réparer, appliquer les procédures, dans deux heures ca sera une vieille histoire, mais on n'arrivera pas à réparer si tu perds tes moyens alors on continue à déconner.

      Et paf ! Dans sa gueule. C'est qui le chef ?

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    10. Tiens ! C'est une excellente idée de billet : ces types qui perdent leurs moyens pour des trucs sans intérêt. J'imagine un pilote d'avion ou un chirurgien paniquer.

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    11. Vous avez raison, on peut (j'ai ainsi "redressé" le neveu de Catherine)… mais c'est fatigant !

      Sinon, je suis sûr qu'il arrive aux pilotes ou aux chirurgiens de paniquer. Mais comme nous ne sommes pas dans la cabine (avec les premiers) ou complètement dans le cirage (avec les seconds), on ne s'aperçoit de rien. Et ce ne sont sûrement pas leurs loufiats respectifs qui vont les trahir…

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    12. Oui. Ils paniquent mais pas au début de "l'incident". Ils appliquent les procédures et les machins qu'ils ont appris et qui expliquent pourquoi ils sont bien payés... Mais il y a des vies humaines en jeu. Nous, ce n'est que du pognon et de l'image de marque (ce qui revient au même).

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    13. @ Didier Goux

      " À partir du moment où tout le monde aura remplacé "problème" par "souci" (et on n'en est plus très loin)"

      Papa, j'ai eu 17 sur 20 à mon souci de géométrie !

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    14. Pourquoi vous mettez un @ devant "Didier Goux" ? On est au coeur du sujet du billet et des commentaires.

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    15. Me casser pas les burnes avec Beaudelaire ou je raconte encore une fous mon oral du Bac. ;-)

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  4. Je ne vais pas faire de commentaires, il y a des mots que je ne comprends pas

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  5. En vertu des recommandations orthographiques de 1990, reprises par les dictionnaires, "entête" en un seul mot est tout à fait admis - et n'a donc plus rien de condamnable.

    Quant à "référendum", aucun problème à l'écrire avec des accents. Sa prononciation même est totalement francisée. Et en Suisse, c'est un mot qu'on utilise souvent...

    Pour "entête", cf. Larousse 2014, même si j'en sais qui diront que les dictionnaires usuels sont permissifs. Moi aussi, ça me pique un peu les yeux...

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    1. Les "recommandations" orthographiques de 1990 sont à oublier, à mon avis, tant elles étaient incohérentes et inabouties.

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    2. Le Larousse est plus permissif à l'écrit que sur son site web... La question n'est pas de savoir si c'est condamnable ou pas ni même d'accepter ou de refuser les évolutions de la langue, c'est que, comme tu dis, cela pique les yeux.

      En informatique c'est un terme qu'on utilise très souvent. En fait, on se fout royalement de la manière avec laquelle fonctionne les programmes. Par contre, celle avec laquelle ils communiquent entre eux est importante puisqu'elle garantit le bon fonctionnement d'un système composé de plusieurs messages. Ainsi, ils communiquent sous forme de fichiers informatiques, de flux, de messages,... Tout ces machins commencent par un en-tête. Par exemple, tu regardes une page HTML (c'est important : elle décrit comment le programme informatique du serveur web va causer avec le programme informatique qu'est ton navigateur), elle commence par une section "HEAD" (de mémoire, je ne connais plus le HTML) qui donne des informations sur ta page (police de caractères par défaut et ce genre de trucs). Désolé pour cet aparté un peu technique.

      Toujours est-il que le mot "en-tête" est utilisé souvent. Et si l'en-tête se trouve en début de fichier, de message, de flux,... c'est pour que le destinataire puisse le trouver. Si cet "espace" de description n'était au début, le programme destinataire ne saurait pas où le trouver et ne fonctionnerait pas parce qu'il ne pourrait pas savoir à quoi correspond ce qu'il vient de recevoir.

      Ecrire "en-tête" en deux mots a un sens. En un mot, aucun... Les mecs qui font les révisions de l'orthographe n'ont parfois rien dans le ciboulot.

      Avec Didier, j'évoque l'exemple du mot "plate-forme" (en rappelant que j'oubliais régulièrement s'il faut un tiret ou non tant la version sans tiret est passée dans les moeurs). C'est bien dommage d'avoir tolérer une évolution, ça en fait perdre le sens. Par exemple, quand on parle de plate-forme d'appel, c'est souvent un abus de langage. Dans ce cas, la plate-forme ne devrait qu'être l'ensemble des moyens techniques, pas les humais qui vont avec.

      Je cite aussi le mot "application". Le Larousse le définit aussi comme un programme (ou un ensemble de programmes) informatique, c'est une erreur. Une application est un programme informatique avec ce qu'il faut pour qu'il puisse fonctionner. Par exemple, l'application Larousse sur le web est un ensemble de programmes informatiques mais aussi une gigantesque base de donnée avec la définition de tous les mots.

      En faisant changer de définition à application pour la réduire à programme, on perd le sens. Sans compter qu'on a déjà plusieurs mots : programme, logiciel, progiciel,...

      Dans mon boulot, je mets des plates-formes à disposition des clients (des banques) avec des applications composées de différents logiciels et d'une configuration propre à notre métier et aux besoins des clients. Ainsi, dans l'informatique, on sait ce qu'est une application, ce mot a été popularisé avec les smartphones sur lesquels on télécharge des applications.

      Si tu télécharges Candy Crush, tu ne télécharge pas qu'un programme informatique mais un programme et une base de données décrivant les différents tableaux (ou niveaux). Si tu télécharges l'application de ta banque, tu ne télécharges pas qu'un programme mais, au minimum, un programme et l'adresse (IP, URL,...) du serveur de la banque où le logiciel pourra aller chercher les informations.

      Non à la réécriture des dictionnaires quand ce n'est pas utile !

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  6. De même que le côté prétentieux à utiliser "scenarii", il y a aussi ceux qui utilisent "fora" pour le pluriel de "forum" ( moi, Môssieu, j'ai fait du latin , je suis culturisé ! )

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    1. Oui, il y a un côté prétentieux et c'est visible dans mon domaine où il y a très peu de gens lettrés mais beaucoup de scientifiques reconvertis à l'informatique (il faut bien manger) et de techniciens qui ont évolué car s'ils n'étaient pas doués à l'école n'en étaient pas cons pour autant. "Scénario" est un mot qu'on utilise souvent dans l'informatique et la plupart des andouilles l'écrivent avec deux "i" au pluriel, comme s'ils voulaient montrer qu'ils avaient des lettres. Ils subissent généralement mon retour de bâton, quand, en tant que chef, je les force à corriger. "Comment tu écris un scénario" "s.c.é.n.a.r.i.o." "Ah ! Tu mets un accent, c'est un mot français, tu mets un s au pluriel et tu fermes ta gueule."

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    2. Ça fait trois fois que j'essaie d'écrire un commentaire. Du coup, je ne me souviens plus de ce que je voulais dire....faudrait pas vieillir...
      Bon, drôlement sévère le chef...enfin tu leur paies un coup de temps en temps

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    3. Je viens de me rappeler Ue ca m'a fait le même coup chez toi hier. Trois commentaires (en réponse à ta réponse) perdus.

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  7. Les commentaires arrivent tous en même temps, je suis débordé et c'est l'heure de l'apéro. Désolé s'il y a des trous...

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  8. Je vais répondre à Didier Goux ici car j'arrive en retard.
    Vous êtes de mauvaise fois car:
    1) Nous sommes déjà tombés d'accord
    2) A chaque fois que vous me signalez une faute, je la corrige

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    1. Et depuis quand n'aurais-je plus le droit d'être de mauvaise foi, Madame le Président ?

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    2. Ah mais je n'ai jamais dit que vous n'en aviez pas le droit!

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