André Bergeron est mort aujourd'hui. Je me suis immédiatement rappelé d'un livre qu'il a écrit dans les années 80 et dont le titre m'a toujours fait rigoler : tant qu'il y aura du grain à moudre. Mes propos dans Twitter étaient pleins d'attention, non pas vis-à-vis de Bergeron mais de l'époque.
Un crétin me tombe dessus dans Twitter. Voir l'illustration.
Ce connard avait oublié Bergeron comme la plupart des Français sauf moi (mais pour une raison sans rapport avec la politique ou le syndicalisme : une raison personnelle).
Et il me reproche d'avoir dîné avec ami Antonio Duarto qui est au PS mais ne représente franchement pas l'aile gauche du PS.
C'était à une de nos soirées de blogueurs, mardi de la semaine dernière. Le fait même que l'enculé ait noté que nous avons dîné ensemble montre à quel point cette gauche sectaire est peine-à-jouir.
Et vice versa.
Je vais néanmoins expliquer à cette enflure qu'il m'arrive assez fréquemment de passer de bons moments avec des gens dont je ne partage pas les idées et que ce fait n'empêche pas l'amitié. Mais je partage beaucoup d'idées avec Antonio et je ne les cache pas : je les exprîme sur mon blog.
Ce fou furieux mélange tout. Mais quand un con, un simple con, finalement, me fait des procès pour les propos que je peux tenir avec une relation dans un bistro, j'ai bien envie de faire marcher la machine à baffes.
Quel militant ou syndicaliste parlait de Bergeron lors d'un dîner la semaine dernière ?
Sombre ordure sur laquelle on n'oserait même pas chier.
"tant qu'il y aura du grain à moudre"
RépondreSupprimerun titre prémonitoire
Eh bien, moi, la mort de Bergeron (dont l'évocation me rajeunit agréablement, je dois l'admettre) ne va pas m'empêcher de prendre l'apéro sur ma terrasse, tout en méditant sur l'insignifiance des choses.
RépondreSupprimerLa mort de qui ?
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