jeudi 8 mars 2012

Egalités femmes-hommes : tout reste à faire



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22 commentaires:

  1. Oui, tableau qui témoigne du côté lamentable de la chose...

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  2. Ouais... (je suis néanmoins perplexe sur certains chiffres. Par exemple, les 75000 viols en France, une recherche sur internet donne d'autres résultats... Mais ça ne change pas le problème).

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  3. Les personnes victimes ne portent plainte que très rarement ... Dans mon entourage, l'une d'elles ... Des passants ont retrouvé cette personne hagarde ... l'on emmenée au poste de police; les flics l'ont immédiatement embarquée à l'UCMJ : constatations immédiates imparables.Le reste de l'enquête a été mené de main de maître ... Toujours la même problématique : s'il y a des témoins secourables et une intervention judiciaire immédiate, c'est bon ... Sinon,c'est un tel chemin de croix pour la victime qu'elle renonce ... C'est déjà tellement dur de se supporter soi-même après ça, que si tu demandes à la personne de se justifier, d'expliquer ...
    Il y a donc une grande distorsion entre les chiffres des viols subis et les chiffres des viols poursuivis pénalement.
    Bz

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  4. PS
    Le viol est un meurtre très particulier puisqu'il laisse la victime vivante ...
    A méditer.

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  5. Oui mais la ça semble trop. Je crois qu'il y a 6000 plaintes et que l'estimation est de 25000 par an. Le chiffre de 75000 correspond aux violences conjugales. Enfin, je ne suis sur de rien. Et quand bien même...

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  6. Le rapport entre 6000 plaintes et 25000 viols subis me parait plus vraissemblable, tu as raison. Mais de toute façon on est dans l'hypothèse ... Il y a des personnes qui parlent 20 ans après ...
    Bz

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  7. « Le viol est un meurtre très particulier puisqu'il laisse la victime vivante ... »

    Il l'est tellement, particulier, qu'il n'est absolument pas un meurtre : les mots ont un sens, vous savez ?

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    1. Excusez-moi, mais c'est sûrement pas à moi que vous allez donner des leçons de vocabulaire juridique ...et quant à la notion en victimologie, je vous le dis tout droit, celui qui est trois fois nul et qui ne perd jamais l'occasion de se taire tant la prétention l'étouffe, ce n'est pas moi.

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    2. Ne réponds pas aux provocations du vieux, enfin !

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    3. Oui, pardon, j'étais énervée.
      Bz

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    4. D'autre part, quelqu'un qui ne perd jamais l'occasion de se taire est, par définition (non juridique cette fois, mais de simple bon sens syntactique), quelqu'un qui ne dit jamais rien – soit l'exact contraire de ce que vous avez tenté de dire.

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  8. Meurtre : fait de tuer quelqu'un volontairement (définition juridique).

    Le viol est un crime, non un meurtre. Par conséquent, c'est bien à vous que je donne une leçon de vocabulaire juridique, et vos petites insultes trépignées n'y changeront rien.

    Nicolas : je vois mal où pourrait se trouver la provocation dans ma remarque.

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  9. Mince, j'ai répondu dans n'importe quel ordre ! C'est délicat à manier, ces pages "imbriquées"…

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  10. C'est le bordel. Je ne sais plus qui parle à qui.

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  11. C'est bien le problème, avec ces imbrications douteuses. Mais bon, je répondais à la dame qui m'insultait un peu plus haut, pour avoir simplement énoncé une vérité première aisément vérifiable.

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  12. Oui c'est le bordel. Surtout avec un iPhone. Et ne meurtrissait pas les dames qui passent chez moi, surtout celles qu'ont l'air bonnes.

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  13. Z'ont juste à pas trop me piétiner le gros orteil, vos dames-qu'ont-l'air-bonnes…

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  14. Jamais de goutte, moi, Monsieur ! (Bon, je suis sous traitement depuis 15 ans, ça aide…)

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