Je veux bien lutter à la fois contre l'Islam et l'islamophobie. Mais si on pouvait se concentrer sur les sujets importants : les poissonniers qui puent le poisson dans les bistros quand je mange.
dimanche 16 septembre 2012
Le poisson à vomir
Je mange tous les dimanches midi à la Comète. C'est horrible. Les poissonniers du marché viennent boire un coup après le boulot. C'est affreux. Ça pue.
Je veux bien lutter à la fois contre l'Islam et l'islamophobie. Mais si on pouvait se concentrer sur les sujets importants : les poissonniers qui puent le poisson dans les bistros quand je mange.
Je veux bien lutter à la fois contre l'Islam et l'islamophobie. Mais si on pouvait se concentrer sur les sujets importants : les poissonniers qui puent le poisson dans les bistros quand je mange.
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Demande à Morano de faire une demande de référendum sur le sujet
RépondreSupprimerÀ qui ?
SupprimerJ'ai du confondre, elle c'est Pucelle et non celle qui pue
RépondreSupprimerLe poisson ne pue pas, môssieu ! Il sent l'iode, la mer, le grand large.
RépondreSupprimerC'est le poissonnier qui pue et là, je reconnais que c'est pas facile à gérer.
C'était affreux.
SupprimerMoi, j'aime bien le poisson quand je suis à la mer.
RépondreSupprimerD'abord à la mer, il sent pas mauvais !
Ouais...
SupprimerEt d'abord, mon chat, ce capricieux - c'est son charme ! - cet andouille, il ne veut plus les boîtes SHEBA à la viande, juste celles au poisson et aux petits légumes ...et il y a une remise de à,60€ dessus en ce moment !
RépondreSupprimerAlors tu vois !
T'es de mauvaise foi kamême ! T'as qu'à pas manger quand les poissonniers du marché ont fini de remballer !
Mais non, je m'explique : ça fait quatre ou cinq ans que je mange tous les dimanches midis (sauf quand je suis en Bretagne) à la Comète, depuis trois ou quatre ans, je le fais au comptoir.
SupprimerDimanche, j'étais à gauche du comptoir. Du coup, les odeurs de poisson était aspirée par la hotte de la cuisine et me passaient devant le nez. C'était affreux. Mais tous les dimanches midis, ils viennent. Mais entre les hottes et moi...