vendredi 1 août 2014

Le con de la veille se rebiffe !

Dans un billet du blog politique, hier, je dénonçais une andouille de droite qui avait fait un tweet pour parler du décès d'un conseiller de François Hollande et avait dit que c'était curieux. Il se défend dans un billet aujourd'hui.

C'est à mourir de rire.

Il dit : "En effet, l’annonce telle qu’elle a été faite du décès d’un conseiller diplomatique a quelque chose de « curieux ». D’ordinaire en une fraction de seconde la presse nous dresse une analyse complète et détaillée de la situation ayant conduit au décès de la personne citée. Là, non. Rien. Curieux."

Ben non, dans les réseaux sociaux, ça va vite... Cette justification est une belle bouffonnerie. Mais c'est après que ça devient drôle puisque qu'il parle de moi.

"Dans un article titré « Le con du jour ! », réflexion type du gros neuneu simpliste qui en disant ça cherche très certainement à se rassurer son compte, le Grand Schtroumph raconte :

« Je dois reconnaître qu'il m'arrive de faire des tweets foireux mais j'ai la décence de les effacer quand on me le signale. »

Dire ça c’est n’avoir pas compris comment fonctionnent les réseaux sociaux et méconnaître la rapidité avec laquelle mes tweets ont été récupérés et travestis ! Il faut une fraction de seconde pour faire une capture d’écran et une autre pour lui permettre de faire instantanément plusieurs fois le tour du monde… Une fois l’intention de nuire amorcée, plus rien ne peut l’arrêter. Supprimer un tweet n’y changerait strictement rien, si ce n’est de conforter mes détracteurs dans leurs âneries…"

Prétendre que je suis un gros neuneu simpliste, je veux bien, mais que je ne connais pas les réseaux sociaux, c'est assez fort. Il se défend comme Nadine Morano : méééé, les résossocios sont méchants...

Revenons sur son billet : ce type n'a pas encore compris qu'à l'heure d'internet tout va plus vite, les médias balancent des alertes avant d'avoir pu rédiger des articles et vérifier l'information. Ils sont obligés d'aller vite sinon les concurrents et Twitter leur grillent la priorité.

Et c'est moi qui n'ait rien compris aux réseaux sociaux ! Il a pris le risque de faire un tweet évoquant la mort d'un type sans en savoir plus, ce qui est d'autant plus drôle qu'il ne devait jamais avoir entendu parler du type en question.

8 commentaires:

  1. Suite à ton billet d'hier, je suis allé voir chez le mec en question.

    C'est un gros con.

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  2. Ils sont curieux ces cons de droite ?!

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  3. Pas grave, une note d'autojustification accompagnée de zéro mot de compassion pour une famille endeuillée d'une manière catastrophique et un défunt si tôt fauché par la maladie, témoigne du handicap affectif et de la sottise de son auteur.
    Je zappe tout en renouvelant mes condoléances à la malheureuse famille de M. ORTIZ

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    1. Ça montre l'ampleur de sa connerie, voire de sa méchanceté.

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  4. Le re-con du jour m'envoie des menaces voilées https://twitter.com/PierreParrillo/status/495491179447083008

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