A sa décharge, elle ne sait pas que j'ai un blog où j'insulte les connasses et connards qui ne savent pas avoir une discussion entre adultes.
Dans le blog politique, j'ai encore traité de connard un abruti ! Je me suis pris une volée de bois vert dans Twitter et dans les commentaires. Les gens, restez zens ! Ça va faire huit ans que je tiens mes blogs et sept que j'ai un compte Twitter.
Vous vous êtes découvert une liberté d'expression depuis un ou deux ans. Cette liberté vous autorise à dire n'importe quoi. Et elle m'autorise à insulter les abrutis anonymes qui me font chier pendant mes heures de loisir.
Surtout si au bout de quelques tweets, ils avouent ne pouvoir s'exprimer en plus de 140 caractères.
Tiens j'ai twitté pour la peine!
RépondreSupprimerPareil, j'ai tweeté!
SupprimerBien.
SupprimerLa pauvre.
RépondreSupprimerce n'est pas le web qui a engendré ce genre d'individus... ils existaient déjà avant...
RépondreSupprimerMarc V.
Oui mais ils n'avaient la facilité pour dire des conneries.
SupprimerJ'ai suivi un peu vos échanges sur Twitter et il me semble que sa contribution n'était pas si vindicative : elle expliquait juste que le terme n'était pas approprié, pas de quoi en faire un fromage dans un sens ou dans l'autre.
RépondreSupprimerMais elle a rapidement été traitée de tous les noms, et j'avoue ne pas bien avoir compris pourquoi elle se faisait traiter de connaisse sous prétexte qu'elle précisait le sens d'un mot ? Peut-être y a-t-il eu d'autres échanges que je n'ai pas vus mais je n'ai pas compris cette hargne sur un tel sujet. La chaleur peut-être... :)
Si vous discutez à côté de moi au comptoir d'un bistro, je vous entends. C'est normal. Par contre, sauf sur un sujet pointu que je connais bien, si vous dites une petite bêtise, je ne vous reprends pas. Ou, si je l'ai fait, je n'insiste pas quand vous me rembarrez.
SupprimerOn appelle ça du savoir vivre. Les internautes ont tendance à oublier. Nous sommes dans la vraie vie. Derrière l'avatar, il y a des gens.
En outre, son détournement de l'argumentation (Valtrier n'est pas la concubine de Hollande) n'est là que pour diminuer le rôle de la dame et argumenter dans un sens une discussion. On appelle ça jouer avec les mots.