Nous avons le con que je citais hier. Un copain à moi était mort. J'en ai fait un billet. Il critiquait pour une raison bidon montrant ainsi qu'il n'a aucun respect et que ce n'est qu'une ordure. Pas grave.
Ce jour, il en rajoute. Il a oublié que le moindre fond de moralité nécessiterait qu'il se fasse oublier.
Voir l'illustration ci-dessus. Nous avons un phénomène assez fréquent : le type qui a raté sa vie qui vient gerber dans les réseaux sociaux. C'est mignon. Nous qui sommes de gauche ne pouvons que le défendre.
Voilà que se pointe un autre abruti, probablement fini avec la même urine.
Ce brave Florian vient déclaré - mais il est plus qu'un peu con- que je suis l'agresseur. Sans rien savoir de l'histoire.
Cela étant, je m'interroge sur la signification de son tweet. Lisez le calmement.
Ne rigolez pas trop fort. Florian est un con. Majestueux. Il ne connait rien à la situation et fait des phrases qui ne veulent rien dire.
lis le avec une pointe d'ironie dans le texte; ça change tout. Ceci dit, à l'écrit, on ne laisse rien passer.
RépondreSupprimerA l'écrit on ne passe rien. Ce type n'a pas à faire de l'ironie avec un type qu'il ne connait pas. Il n'a même pas à m'adresser la parole.
SupprimerRestez zen
RépondreSupprimerJe suis zen.
SupprimerÀ ignorer, ils ne méritent même pas un commentaire (ah zut j'en fait un)
RépondreSupprimerPour poursuivre la métaphore des suidés, beaucoup de gorets suivent les traces de leur mère sur Twitter
Bah !
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