vendredi 9 novembre 2012

Nein ! Raoust schnell !

Allons bon ! Voilà Berlin qui étudierait des réformes que devrait étudier la France pour sauver son économie. Rappelons à Madame Merkel qu’il elle n’a pas été élue chancelière de la France. « La semaine passée, un responsable placé au cœur de la machine gouvernementale à Berlin avait dressé pour le Figaro l'inventaire des recettes des économistes allemands, pour créer un choc de compétitivité en France: «baisser le coût du travail», «abolir les 35 heures», «augmenter la flexibilité», «mettre fin aux avantages des fonctionnaires trop privilégiés par rapport aux emplois précaires», «réduire le poids de l'État dans l'économie», «lever les barrières à la concurrence», «baisse des impôts», «réforme du système social, notamment les retraites». »

Ca sera tout, oui ?

Madame Merkel sait-elle que son propre pays va droit dans le mur avec une natalité dérisoire ? Se rend-elle compte que c’est à elle de faire évoluer sa propre gestion ? C’est l’Allemagne avec une politique délirante qui met tous les autres pays européens dans la merde.

L’Allemagne et ses 20% de travailleurs pauvres… Le pourcentage de travailleurs gagnant moins des deux tiers du salaire médian est passé de 15,0 % à 22,2 % de 1995 à 2006.

L’Allemagne, ce pays où les pauvres meurent de plus en plus jeune.

L’Allemagne, ce pays qui doit 300 milliards d’euros à la Grèce…

2 commentaires:

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