Aujourd'hui, on apprend que la croissance est supérieure aux prévisions.
Nous étions accoudés, là, calmement. Nous refaisions le monde. Soudain, j'ai levé un œil vers la rue ; ce monde tournait sans nous.
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Et les journalistes expliquent sans rire qu'en fait ça ne change rien, c'est pas une "vraie" croissance, c'est juste que les gens ont dépensé plus... Et puis les entreprises ont refait leurs stocks, et puis... bref quoi c'est pas une "vraie" croissance, ça compte pas, c'est pas comme les 0,7% de l'Allemagne, là bas c'est du vrai !
RépondreSupprimerLes écoute pas !
SupprimerC'est vrai que rien ne trouve grâce à leurs yeux
RépondreSupprimerOn devrait changer le prix Nobel d'Economie en prix Nobel de la tête à claque, ça serait plus juste.
RépondreSupprimerJe vote oui!
SupprimerJ'aime bien lire Pierre Parrillo, il est marrant dans ses certitudes, pas convaincant loin s'en faut, mais il résume à lui tout seul, l'amertume de ceux qui croyaient que seuls eux avaient raison et qu'ils pouvaient faire n'importe quoi aux français qui auraient gobé tout crû les arnaques sarkoziennes.
RépondreSupprimerCe Môôôôôsieur Je sais tout peut continuer à déblatérer, ce n'est pas lui qui changera le cours de l'histoire et de l'économie française.
Il est rigolo en permanence voir la conclusion de son billet d'aujourd'hui : il a oublié que c'est son idole qui a créé le RSA
SupprimerIl ne peut pas le savoir, il est né le 13 mai 2012
SupprimerIl s'est (encore) raté...
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