mercredi 26 juin 2013

Quelques blogs réacs ne seraient-ils pas vraiment cons ?

La réacosphère, c’est quelque chose ! Je me trouve insulté chez cette andouille de Skandal. Je vous assure que bloguer n’est pas toujours une sinécure. Je me reprends une autre couche chez Koltchack par un commentateur débile. Ce brave Jacques Etienne en remet une couche dans les commentaires chez moi. Je le cite : « Pour trouver dans cet article de Libération la moindre trace d'une quelconque esquisse de disculpation de votre "martyr", il faut avoir une épaisseur d’œillères hors du commun. Je vous la reconnais et vous prierai, à l'avenir, d'éviter de me citer.

J'ai eu, un temps, l'impression que l'on pouvait dialoguer avec vous. C'était une erreur.

Vous m'avez déçu. Profondément.

Je vous souhaite bonnes bières, bonnes Comètes et bonne vie, comme je souhaite que nos chemins cessent de se croiser.
 »

Je vais répondre à Jacques : votre vie m’indiffère. Vous avez débarqué sur mon blog un jour. Vous auriez pu vous abstenir. Je vais répondre aux autres, aussi. Je me fous de Koltchack, c’est un royaliste qui conchie notre république. Skandal est une espèce de fou qui squatte par moment dans mon blog, qui laisse dix commentaires et que je finis par virer parce qu’il me gonfle, il gonfle tout le monde. Jacques, vous pouvez éviter mon blog, je m’en tirerai bien sans vous. Je vais continuer de vous citer, comme beaucoup d’autres. Quand on est à ce point de connerie parce qu’on veut éviter la contradiction, c’est qu’on n’est plus sur de rien, qu’on ne vaut plus rien.

Dans cette histoire, je vous trouve bien médiocre.

Comme tous les réacs, vous n’avez eu de cesse que d’enfoncer Méric, parce que vous n’aviez rien à dire pour défendre « Esteban ». Vous pouvez toujours faire des billets pour expliquer qu’ils sont tous les deux aussi nuls mais c’est trop facile et trop grossier. Vous attaquer à un type qui est mort, c’est nul. L’enfoncer pour soutenir l’autre est idiot. Vous êtes un nul. On appelle ça une crevure, par chez moi.

Vous êtes un con. Vous citez une information de RTL et vous m’insultez quand je cite une information de Libération. Je n’ai pas de Martyr, vous en avez un. Esteban ! Il est beau ! Un article vous explique que le vôtre est bidon, vous pouvez chier dessus. Vous vous êtes précipité pour faire un billet et quand je fais un billet contradictoire, vous m’insultez !

J’ai bien noté le moment où vous m’avez viré de votre blogroll, lâchement. C’est quand vous avez fait un billet pour rebondir sur un sondage. Je me suis foutu de votre gueule parce que vous aviez expliqué dans un de mes billets que le sondage que je citais ne valait rien.

Vous êtes d’une bêtise incroyable…

Mais les blogs réacs sont si fiers qu’ils vont bientôt se retrouver seuls. C’est ballot. Ne pas supporter la contradiction n’aide pas à comprendre les choix des électeurs. Vous allez vous enfermer et péricliter, dans votre coin.

Adieu.

Mais je reste abonné à votre blog, ça me fera des tas d’exemples à citer pour montrer à quel point vous êtes nul.

14 commentaires:

  1. De l'amour troublé moi j'appelle ça. mais putain on les oblige pas, hein ?
    Digne joli billet que voilà. (on dirait un peu le mien)

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    1. Pas encore vu ton billet !

      Non, on ne les oblige pas...

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  2. Il m'a laissé un commentaire il y a peu, bien moins sympathique mais de la même veine.
    Faut dire qu'il ne me manque pas du tout. Il se fâche tout le temps quand il n'a aucun argument opposable. Le débat est donc assez vite inintéressant.

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    1. Le problème est qu'il n'a jamais aucun argument. Là, il perd pied. Il en avait obtenu un et il est tombé quelques heures après...

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    2. je précise que c'est de JE dont je parle, les autres, j'ai du mal à suivre. Ils s'écoutent parler, c'est vite lassant.

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    3. J'avais bien compris. Les autres ne m'intéressent pas.

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  3. Hum... J'ai du mal à suivre.
    L'un écrit: "Ne pas supporter la contradiction n’aide pas à comprendre les choix des électeurs. Vous allez vous enfermer et péricliter, dans votre coin".
    L'autre ajoute: "Ils s'écoutent parler, c'est vite lassant".
    Vous parlez d'un blogueur de gauche en particulier?

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    1. Non. D'une partie des blogueurs réacs, dont Jacques Etienne. Je pense que je suis un des blogueurs de gauche à fréquenter le plus les blogueurs réacs... et à les lire.

      Jacques Etienne s'est fâché avec moi car je ne lui donne pas raison. C'est quand même délirant. Faire de la politique dans un blog et perdre toute raison... L'autre jour, il a écrit : "A croire que le discours de gauche ne séduit plus et qu’il serait grand temps d’en changer." Je ne sais pas s'il se rend compte qu'il voudrait que la gauche fasse une politique de droite pour lui faire plaisir.

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    2. Euh, pourquoi, le gouvernement, là, il ne fait pas une politique de droite?

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    3. Partiellement, mais je pense que JE voudrait qu'il tienne un discours franchement réac...

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  4. Et les blogs réacs traînent une sacrée palanquée d'abrutis dans les commentaires.

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    1. Oui. J'ai vu tes échanges chez je ne sais plus quelle andouille.

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    2. Il doit même y avoir des commentateurs fictifs, ils sont fort à droite pour tout ce qui est fictif, comme les emplois.

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    3. Non. Je connais la plupart dépeins longtemps. Et certains font du rétropédalage quand ils se trouvent en face de moi. Par contre, ils font tous la même erreur : il y a un phénomène de meute. Ils n'auraient pas du te répondre. Ils s'enfoncent ainsi dans leurs propres merdes et passent pour des guignols aux yeux des mecs les moins cons. C'est pour ça que je dis souvent à mes commentateurs de ne pas répondre à mes trolls.

      Cette erreur renforce un phénomène : ils font chier les autres. Du coup il n'y à plus que des gens qui parlent entre eux. Alors que chez moi on discute entre potes puis je discute avec des reacs. Et j'écoute leurs arguments.

      Jacques Étienne a fait une connerie en me virant : il n'aura plus de contradicteur. Il va s'enfoncer dans ses certitudes. Au moins quand un réac commente chez moi, je prends en compte.

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