jeudi 7 mars 2013

Le savoir vivre dans Twitter appliqué aux cons

Ça faisait longtemps que je n'avais stigmatisé personne dans ce blog, moi. Je baisse.

1. Mon pote Seb envoie un tweet.
2. Je lui lance une vanne.
3. Un inconnu intervient dans la discussion.
4. Je le traite de connard.

Je vais revenir sur le 3 qui mérite une étude psychologique en quatre points :

1. De quel droit intervient-on dans une conversation quand on ne connait pas les gens qui papotent (ou quand on est inconnu des gens qui papotent) ?

Vous allez me dire que c'est la règle dans Twitter. Certes. Je connais aussi un tas de connards qui interviennent dans les conversation que j'ai avec mes potes au comptoir.

Un conseil : lors de votre première rencontre avec des gens, soyez aimables. Surtout si les gens sont des gros cons comme moi.

2. De quel droit tutoie-t-on un type que l'on ne connait pas ?

Vous allez me dire que c'est la règle ? Ah bon...

3. De quel droit se permet-il de dire que je lui pique sa vanne alors que nous ne sommes qu'une poignée à utiliser l'expression que j'emploie ?

Ce type semble vouloir dire qu'il est capable de jouer dans la cour des grands mais cette cour n'existe pas.

4. De quel droit peut on traiter un type de pute dans Twitter.

Conclusion : mon appellation de "connard" semble un peu faible...


6 commentaires:

  1. Vive Twitter! Avec sa dose de gros nases, malheureusement.

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  2. Il faudrait mettre en place une graduation de la qualification... "Connard" pouvant rester un étalon.

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  3. C'est plutôt agressif comme réplique, les 2 en fait
    J'ai pas encore tout compris sur la communication Tweetland mais je lis beaucoup d'agressions verbales
    Mais c'est vrai aussi que l'intonation souriante d'une boutade ne se lit pas forcément, voire pas du tout
    Bonne journée (grand sourire)

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    1. Bah ! Le savoir vivre ne doit pas s'arrêter à l'entrée des réseaux sociaux.

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