vendredi 17 mai 2013

Aidons la presse en ligne à améliorer ses directs

Dans mon billet de 19h30, hier, suite à la conférence de presse de François Hollande, je rouspétais contre le mauvais travail des médias en ligne, pendant les directs : je n'ai pas pu en tirer de quoi faire un billet de blog complet tant ils ne reportaient que très légèrement les propos du Président. Didier Goux commente : «Bref, vous reprochez aux journaux d'être un peu moins hollandolâtres que vous. Nul n'est parfait, que voulez-vous…» il ne s'agit pas ça !

Il s'agit du constat qu'ils font un boulot inutile nocif à leur image de marque. 

J'invite les patrons des journaux à lire les travaux de leurs employés pendant ces séances de direct. J'invite Didier Goux à le faire d'ailleurs. On a parfois l'impression que les gugusses s'amusent comme s'ils étaient dans twitter, n'en font qu'à leur tête et racontent des blagues pour amuser la galerie. 

Je vais leurs donner un conseil. Vous montez une équipe avec :
. Une dactylo (ou deux pour qu'elles puissent se relayer),
. 2 journalistes,
. Un rédacteur en chef,
. Un spécialiste de la publication sur le web. 

La dactylo sera chargé de taper en live les propos du Président (ou de n'importe quel orateur). Grâce à un subtil logiciel, tous les paragraphes seront envoyés à un des journalistes en direct. 

Il sera chargé de les résumer ou d'extraire les phrases clés. Il transmettra le résultat au rédacteur en chef. 

L'autre journaliste devra suivre Twitter, repérer les propos intéressants et les transmettre au rédacteur en chef.  

Le rédacteur en chef sera chargé d'organiser tout ça pour la publication et de le transmettre au dernier lascar qui devra relire et publier en convertissant en HTML.  

Vous aurez ainsi un fil complet que prendront plaisir à lire les internautes, ils auront tout ce qu'il faut, y compris les tweets remarquables qu'ils pourront utiliser, le tout dans un presque parfait direct (il y aura bien un décalage de cinq minutes quand même).  

Vous gagnerez plein de pognon avec la publicité et votre image de marque sera renforcée, le tout pour l'investissement de 500 euros. 

Un peu d'imagination, que diable !

Vous pouvez mettre en place un dispositif similaire pour à peu près n'importe quel événement, comme les compétitions sportives. Un type qui bosse sur le direct (une dactylo dans mon exemple), deux ou trois types qui  trouvent ce qu'il faut publier. 

Au boulot !



Envoyé de mon iPhone

2 commentaires:

  1. suggestion d'une connassE intergalactique :
    . Un dactylo (ou deux pour qu'ils puissent se relayer),
    . 2 journalistEs,
    . Une rédactrice en cheffe,
    . Une spécialiste de la publication sur le web.
    #LaBarbe

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    1. C'est grotesque. Il s'agit d'écrire en français dans un journal. Les connasses comme toi nuisent à la cause à un point incroyable.

      Je pourrais faire un billet en te citant pour démontrer que les féministes sont des connasses. Mais je respecte trop le combat depuis que j'en ai rencontré des ouvertes à la discussion.

      Vas chier.

      Et ne dis pas que je suis grossier avec les femmes, ça serait anti féministe : le suis grossier avec tout le monde. Et je pourrais sortir tes derniers commentaires prouvant que tu l'agresses sur tous les blogs. Pauvre folle.

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